Le Petit Chaperon Rouge, dit Red /!\ Sanglant /!\

[Je certifie avoir pris connaissance de tout le contenu de l'Introduction, et je m'engage à le respecter. (On a droit à l'antropophagie? J'ai oublié u_u)
Red]

Personnage entre les Barrières

Nom : Le Petit Chaperon Rouge
Conte d'origine : Le Petit Chaperon Rouge

Importance : Personnage primaire
Inclination : Personnage bon
Rôle : Héroïne

Apparence physique :
Le Petit Chaperon Rouge est une fillette pas bien grande aux cheveux blonds et aux yeux noisette. Elle se promène toujours avec un chaperon rouge ce qui lui a valu son surnom. Son petit visage d'ange a séduit le loup et sa candeur et sa jeunesse ont mit la bête en appétit.
Caractère :
D'une naïveté extrême, le Petit Chaperon était réputé pour sa bonté et sa gentillesse, bien qu'elle ait été légèrement narcissique sur les bords. Elle prenait soin de son apparence mais était généreuse et toujours prête à aider. C'est d'ailleurs en apportant de quoi se sustenter à sa grand-mère qu'il lui arriva quelques péripéties.

Signe Particulier :
Elle porte toujours un chaperon rouge.

Histoire :
Il était une fois une petite fille qu'on appelait Chaperon Rouge.
Un jour sa mère lui demanda d'apporter une galette et un petit pot de beurre à sa grand-mère. Ravie de pouvoir rendre service, elle s'aventura dans les bois, son panier au bras. Tout à coup apparut devant elle un Grand Méchant Loup. Il lui proposa de faire une course de vitesse jusqu'à la maison de la grand-mère. Le Petit Chaperon Rouge accepta. Mais elle flâna et cueillit des fleurs, alors que le Loup se dépêchait d'arriver chez la grand-mère. Après avoir trouvé le secret du mécanisme de la porte (« Tire la chevillette et la bobinette cherra ») il pénétra et dévora la grand-mère. Puis il revêtit la chemise de la vieille femme, enfila son bonnet de nuit et se coucha dans son lit.
Quelques instants plus tard, le Petit Chaperon Rouge frappait à la porte. Elle entra ensuite et après quelques remarques sur l'aspect physique de sa grand-mère, le Loup se révéla et dévora la fillette. Tragique histoire non?

Personnage libéré des Barrières

Apparence physique :
Avant que les barrières ne tombent, Red avait un charmant visage aux yeux si innocents qu'ils charmaient tout le monde. Son joli visage encadré de boucles blondes et son léger sourire apportaient la dernière touche de candeur à ce tableau charmant de petite fille. Après la chute des barrières, Red sembla rester la même physiquement. Et pourtant, pas tout à fait...
Tout d'abord, sa taille resta la même. Oui, elle n'eut pas de poussée de croissance brutale et resta de sa hauteur d'1m45. Elle n'est pas minuscule pour son âge (environ 10 ans) quand même. Pourtant, elle eut une poussée de croissance autre part : sa poitrine augmenta brusquement, pas de manière horrible par rapport à son frêle corps, mais de manière agréable à regarder, bien que ses hanches restent presque aussi fines que sa taille. Ses bras sont musclés et déliés, habitués à porter la lourde charge d'un gigantesque panier contenant une grande galette et un lourd pot de beurre, puis, une scie et une hache. Ses jambes sont bien proportionnées, fines elles aussi, et surtout, musclées, vu qu'elle passait son temps à traverser la forêt dans le conte et que maintenant que les Barrières ont disparu, elle passe son temps à errer. Ses pieds sont fins et chaussés de bottes en cuir rouge confortables qui lui remontent aux genoux. Elle porte une robe, rouge elle aussi, qui s'arrête juste après les genoux et moule ses formes. Une ceinture lui enserre la taille.
Passons maintenant au visage. Elle a gardé la même forme de visage, un visage enfantin, mais le reste à sensiblement changé, à commencer par ses lèvres qui sont devenues plus rouges, peut-être parce qu'elle passe son temps à les mordiller. De même, ses joues ne sont jamais tout à fait pâles. Un léger rose les colore en permanence. Quant à ses yeux, de bleu ciel ils sont passés à gris acier. Un gris qui se durcit jusqu'à devenir métallique quand elle tue. Son regard semble dire, en temps normal, « Venez vers moi, je ne suis qu'une gentille petite fille, facile à violenter. » et puis tout à coup on se rend compte qu'on été pris au piège... C'est elle qui, après vous avoir découpé en morceaux, se repaît de... Non, ça c'est à voir dans le caractère.. Attendez donc un peu! Je sais que vous êtes impatients de savoir, mais... non. Revenons à son physique. Tout d'abord, la dentition. Red a des dents d'un blanc éclatant, parfaitement rangées et extrêmement solides. Elle porte sur ses cheveux qui sont restés aussi courts, bouclés et dorés, une capuche écarlate qui se prolonge en large cape vermeille, dissimulant son frêle corps et surtout, sa lourde scie à la lame rougie et aiguisée et sa hache tranchante, dans ses amples plis.
Parlons de l'apparence du Petit Chaperon Rouge par rapport aux autres gens. Tout d'abord, il est impossible de ne pas la remarquer. Voyons: une gamine avec une poitrine appétissante, qui semble cacher de l'argent sous sa cape, totalement inoffensive et surtout, sans défense. Et puis ce regard en biais, qui incite à s'approcher d'elle. Pour les enfants, c'est « Tu viens jouer avec moi? J'ai des bonbons! », pour les femmes c'est un regard désespéré « J'ai perdu ma maman! » et pour les hommes « Viens, regarde, je suis sans défense... ».
Ah oui. Elle a un appétit d'ogre (sans figure de style).

Caractère et psychologie :
Red. Pourquoi ce surnom d'abord? On pourrait penser « à cause de sa tenue, voyons ». En fait, non. Les plus futés l'auront sans doute deviné, c'est à cause de sa passion pour le sang... Il est vrai, qu'au départ, on l'appelait « Le Petit Chaperon Rouge » et que sa mère l'appelait d'un prénom chrétien, d'une gentille sainte. Mais Red l'a oublié, intentionnellement ou pas.
Avant, Red était gentille, serviable et un peu narcissique. Maintenant, elle a changé. Tout d'abord, elle qui était un vrai moulin à paroles, est devenue une personne extrêmement laconique et torturée. Non, pas torturée. Je voulais juste caser ce mot, il me trotte dans la tête depuis trop longtemps. Donc je disais, non, elle n'est pas torturée. Pas du tout même. Peut-être d'un point de vue externe, mais pour elle-même, tout est clair. Très clair. Et rouge aussi. Quant à la gentillesse, on a beau chercher, ça va être difficile à trouver. Elle n'a aucun sens de la politesse et si elle ne peut pas tuer la personne en face d'elle pour diverses raisons (présence de trop de personnes, proximité des Forces de l'Ordre, absence de sa scie (cas extrêmement rare), attraction quelconque pour la personne (du jamais vu jusqu'à aujourd'hui!) ou alors son interlocuteur est plus fort qu'elle), elle se comportera comme une gamine pourrie gâtée, ou comme une allumeuse très envahissante, au choix. De même, elle ne rendra jamais, au grand jamais, service à quelqu'un. Ou bien elle l'a déjà tué, ou bien il va se chercher son truc lui-même.
Enfin, le narcissisme. Cherchons. Cherchons encore. Vraiment, je peux vous dire que le narcissisme à presqu'entièrement disparu de son caractère. Oui, elle coiffe encore soigneusement ses cheveux. Oui, elle fait attention à sa tenue. Mais sans plus. Elle serait incapable de rester des heures devant un miroir. Pour faire simple, disons que parmi les 7 Péchés Capitaux, elle a échangé l'Orgueil contre la Paresse. Allez savoir lequel est le meilleur choix. De même, elle a échangé le soupçon de Jalousie qui existait entre elle contre un soupçon de Luxure. Pas grand-chose hein, mais un peu quand même.
Et maintenant, ce que tout le monde attendait : la mise à mort. Comment procède-t-elle? Tout d'abord, elle séduit sa future victime comme vu dans la description physique. Quand sa victime s'approche d'elle, elle met ses mains derrière son dos et quand la victime est à 50 cm d'elle, elle sort la scie ou la hache brusquement (selon ses envies) et donne un grand coup. Et là, c'est selon son humeur. Ou bien c'est un coup vertical qui coupe la personne en deux moitiés comme le Vicomte Pourfendu d'Italo Calvino (vous n'avez pas lu? Quelle erreur! C'est un livre excellent, je vous conseille de le lire!), ou bien un coup horizontal qui prend parfois à la taille, parfois au cou. Ou alors un coup en biais. Et puis quand le corps est séparé en deux, elle découpe méthodiquement en plus ou moins grandes parties. Et ensuite elle s'assoit et elle mange. Oui, vous avez bien lu, elle est devenue antropophage. Et je peux vous dire que ça lui plaît plus que la galette et le pot de beurre au goût fade. Sincèrement.

Emploi :
Tueuse Antropophage

Lieu de résidence :
Nulle part, elle erre, ou plutôt, fuit devant les Forces de l'Ordre, sans s'en rendre compte.

Inventaire :
Une Scie, qu'elle a appelée Vermeille et une Hache nommée Ecarlate qu'elle manie avec dextérité. Son Chaperon Rouge, ou plutôt, sa Cape Rouge.

Aime... :
Le Sang, Le Rouge, Vermeille et Ecarlate, la Chair Humaine...

Déteste... :
Le Loup, sa mère, les gens « gentils », ceux qui la prennent pour une fillette sans défense, ses futures victimes (ce sont souvent les mêmes que la catégorié précédente), les gens qui se plaignent sans arrêt, les galettes et le beurre..

Suivi(e) par... :
Les Forces de l'Ordre, ses envies de meurtre, les parents de ses victimes, un tas de personnes qui voudraient l'engager comme tueuse à gages ou comme bête de cirque, et encore, j'en passe...

Biographie :
Dans le conte, le Petit Chaperon Rouge allait tous les jours apporter une galette et du beurre à sa Mère-Grand et se faisait immanquablement manger par le loup, qui aurait préféré jouer aux échecs avec la grand-mère. Donc, pour éviter de s'ennuyer trop mortellement sur le chemin de l'aller, elle avait inventé une petite comptine qu'elle chantonnait tout en balançant joyeusement son panier. La comptine allait comme ceci:

Maman m'a dit d'aller voir Mère-Grand
Et de lui offrir un petit pot de beurre
Et une galette maison
Parce qu'elle est malade, la pauvre.

Elle m'a donné mon chaperon
Et aussi un bisou et sa bénédiction
Puis je suis sortie et allée dans la forêt,
Et je me suis arrêtée pour cueillir des fleurs.

Le loup est venu me voir, pour me dire bonjour.
Il m'a proposé de faire la course
J'ai accepté et je lui ai dit où j'allais
Mais ces fleurs sont si belles que je ne peux pas ne pas les cueillir.

« Tire la chevillette et la bobinette cherra. »
Je tire la chevillette, la bobinette choît
J'entre voir Mère-Grand
Et là, quelle surprise!, qu'est-ce qu'elle a changé!

Mère-grand, que vous avez de grands bras ?
C’est pour mieux t’embrasser, ma fille.
Mère-grand, que vous avez de grandes jambes ?
C’est pour mieux courir, mon enfant.

Mère-grand, que vous avez de grandes oreilles ?
C’est pour mieux écouter, mon enfant.
Mère-grand, que vous avez de grands yeux ?
C’est pour mieux voir, mon enfant.

Mère-grand, que vous avez de grandes dents.
C’est pour te manger.
Je hurle et le loup m'avale.
Fin de l'histoire et moralité.

Mais demain, ressucitée,
Je referai ce chemin.
Et tout sera pareil.

Vous avez remarqué, je crois, qu'elle se lassait de cette vie à être tout le temps dévorée par le loup. D'autant plus que là c'était la version de Perrault alors que celle des frères Grimm était bien plus intéressante, vu que c'était le loup qui crevait. Et puis le conte en tradition orale était plus marrant, puisque, trompée par le loup, elle mangeait la viande de sa grand-mère et buvait son sang en guise de vin. Mais bon, elle faisait ce qu'elle devait faire. Et puis un jour, les barrières volèrent en éclats.
Ce matin-là, la mère du Chaperon Rouge lui donna comme à son habitude le panier et son contenu, mais futée, la future Red saisit un grand couteau de cuisine et le cacha dans son panier. Puis elle sortit, et sur le chemin, elle commença à chantonner sa comptine, la modifiant quelque peu :

Maman m'a dit d'aller voir Mère-Grand
Et de lui offrir un petit pot de beurre
Et une galette maison
Parce qu'elle est malade, la pauvre.

Elle m'a donné mon chaperon
Et j'ai mis aussi un couteau dans le panier.
Puis je suis sortie et allée dans la forêt,
Et je me suis arrêtée pour cueillir des fleurs.

A ce moment-là, le Grand Méchant Loup arriva et lui proposa une course, bien qu'il mourut d'envie de lui proposer une partie d'échecs. Mais Red eut un léger sourire et sortit son couteau. Puis elle poursuivit son chemin et sa comptine :

Le loup est venu me voir, pour me dire bonjour.
Il m'a proposé de faire la course
Mais je n'ai pas voulu et maintenant mon couteau est tout sale
Et heureusement que mon chaperon a la bonne couleur.

Mais je vous rassure, elle ne l'a pas tué. Juste blessé. Gravement cela dit en passant. Elle arriva ensuite à la maison de sa grand-mère :

« Tire la chevillette et la bobinette cherra. »
Je tire la chevillette, la bobinette choît
J'entre voir Mère-Grand et je lui donne la galette et le beurre
Et je salis mon couteau.

Pareil, elle n'a pas tué la grand-mère, ou peu s'en faut.
Puis, elle rentra à la maison, et poursuivit la comptine:

« Maman, le loup a mangé Mère-Grand! »
- Qu'est-ce qu'il a été lourd à porter jusqu'à la maison de Mère-Grand! -
« Et un chasseur a tué le loup
Et il est reparti sans rien dire. »

De toutes façons, elle ne peut plus m'entendre.
Qu'est-ce que je vais bien pouvoir raconter
A Papa ?

Mais Red n'avait pas de père, étant un personnage de conte. Et puis, sa mère finirait bien un jour par se réveiller, à moins qu'elle ne crève. Alors elle alla voir le forgeron du village et entra dans son magasin. Pendant qu'il fabriquait une épée sur son enclume, Red se saisit de la magnifique scie qui la toisait, posée sur la table. Elle lui parut d'abord un peu lourde, mais rapidement, elle lui sembla faite pour elle. Silencieusement, elle s'approcha du forgeron par derrière et lui coupa la tête. Elle s'envola et atterrit sur le sol, une expression d'intense surprise peinte sur le visage du brave homme. Un grand sourire éclaira le visage de la gamine et elle trancha et tranche, laissant la flaque de sang s'élargir encore et encore. Puis, elle s'assit, et saisit un morceau non identifiable de l'ex-forgeron. Elle renifla un instant, puis, décidant que l'odeur lui plaisait, elle mordit à pleines dents. Oui, dans la viande encore tiède, mais crue. Apparemment, le goût de la chair humaine la satisfit, puisqu'elle « finit son repas », ne laissant que les os, la tête, quelques morceaux non comestibles, le sang séché sur le sol, un petit pot de beurre et une mini-galette. Oui, elle avait faim. Forcément, elle ne mange jamais dans le conte. C'est toujours elle qui se fait manger.

Bref, après son premier « repas », elle quitta le village, la scie déjà nommée Vermeille accrochée dans son dos, dissimulée par sa cape. Après une journée de marche, elle traversa la Forêt de Grimm et ne tarda pas à rencontrer des bûcherons. Elle s'éloigna, énervée, parce qu'aucun bûcheron n'était seul et qu'elle commençait à avoir faim. Mais, ô surprise, elle trouve un bûcheron qui s'était éloigné des autres et s'attaquait à un arbre au tronc énorme. Un sourire éclaira le visage encore enfantin de Red et elle s'approcha par-derrière du bûcheron, sa scie déjà à la main. Il n'eut pas le temps de comprendre qu'il était déjà coupé en deux dans le sens de la hauteur. Sa hache lui échappa des mains et Red s'en saisit, terminant son charcutage avec le propre outil de travail de sa victime. Puis elle se régala de son dîner, ne laissant comme la dernière fois que les deux moitiés de la tête, des os, des restes, du sang séché, un petit pot de beurre et une mini-galette (ne me demandez pas où elle se les a procurés). Elle s'éloigna un peu de l'endroit de son repas, emportant la hache nouvellement nommée Écarlate accrochée dans son dos avec Vermeille, dissimulées par sa cape. Puis, suffisamment loin à son goût de son repas, elle se fit un petit lit avec ses « couverts », s'allongea et s'endormit d'un sommeil lourd et sans rêves.

Au réveil, elle chercha une rivière car le sang, ça a beau être très bon, il n'y a rien de mieux que l'eau pour désaltérer. Elle trouva rapidement un cours d'eau dont la taille hésitait entre le ruisseau et la rivière mais dont l'eau semblait suffisamment pure pour être potable et elle bût goulûment jusqu'à ce que sa soif soit étanchée. Puis elle observa son reflet dans l'eau et constata quelques changements. D'abord, ses yeux, qui n'avait plus rien du bleu ciel qu'elle connaissait mais qui brillaient d'un éclat acier qui lui plut beaucoup plus. Et ensuite, quand elle se déshabilla pour se baigne dans la rivière, elle remarqua que sa poitrine avait considérablement augmenté : elle était passée d'« inexistante » à « bonnet B ». Sans y prêter plus attention que ça, elle plongea dans la rivière et se lava soigneusement. Puis elle s'étendit, nue, au soleil, et attendit d'être sèche. Quand elle fut sûre de l'être, elle se rhabilla et fut forcée d'observer que sa robe la serrait. Elle se rendit donc rapidement au village le plus proche et, sans tuer personne pour le moment, s'acheta une charmante petite robe en soie écarlate qui moulait exquisement ses jolies formes avec l'argent pris au bûcheron. Puis elle lança un regard de petite fille perdue à une passante et s'éloigna vers la route, qui passait à travers un bosquet d'arbres. La femme la suivit et la héla. Red se retourna et lui fit un regard désespéré en reculant encore plus profondément dans le petit bois. Finalement, elle s'arrêta et la femme s'approcha d'elle. « Où est ta ma.. » Ce fut sa dernière phrase. Et le premier repas féminin de Red. Elle apprécia. La chair était plus tendre que cette des hommes hyper-musclés.

Je vais vous épargner le premier repas enfantin de Red. Oh, et puis non. C'était intéressant. Figurez-vous qu'en chemin, elle rencontra le Joueur de Flûte de Hamelin, au regard hagard, poursuivi par des hordes de rats et d'enfants. Il ne fut pas difficile à Red de jeter un regard attirant à deux enfants, un garçon et une fille, qui semblaient jumeaux ou amoureux vu qu'ils se tenaient par la main. D'un coup de hache circulaire, Red leur sépara le torse des jambes en même temps. Et envisagea de se procurer une faux. Ça pouvait se révéler pratique.

Excellente fiche, très détaillée. Voilà, justice est faite et tu es la première validée ^^.